Et si je te disais, moi.
Et si je te disais, moi, que je n'en peux plus. Et si je te disais, moi, qu'il vaut peut-être mieux que j'arrète. Que j'arrète ça, ces mots qui font le bilan sans arret, et qui finalement, ne font que tout détruire. Et si je te disais, à toi, qu'il vaut peut-être mieux qu'on s'arrète. Tu ne comprendrais pas. Mais ça fait trop de mal. Et ça lui pique les yeux, à elle, comme des aiguilles dans une poupée. Et je ne veux pas, tu comprends. Je ne veux pas qu'elle se traine, comme ça, de mal en pire. Et si les ailes, que tu met dans mon dos, sont des épées qui la transpercent, elle, alors il vaut mieux que je les enlève. Et si j'ai voulu gouter à ça, à ces petits sourires innoncents, c'est que je ne me rendais pas compte. Ca, ce sont mes derniers mots, qui se noient dans la confusion. Ce que je vais faire? Je ne sais pas vraiment. Mais je ne veux plus, être responsable de chaque cri, chaque douleur. J'en vois déjà trop tous les jours, des vies gachées par l'amour.